Tu t’entraînes dur. Tu respectes ton plan d’alimentation.
Mais chaque matin, c’est la même frustration :

• Tu ouvres les yeux plus fatigué qu’en te couchant, avec cette sensation de vide qui te plombe avant même d’avoir commencé ta journée.

• Ton corps te lâche doucement : des courbatures qui refusent de disparaître, des muscles qui peinent à récupérer, une douleur sourde qui s’installe.

• La nuit, ton esprit tourne à plein régime : le stress de la prochaine compétition, la peur de ne pas être au niveau, les pensées qui s’accumulent et t’empêchent de décrocher.

• Ton cerveau ? Comme pris dans un brouillard épais. Les gestes techniques te paraissent hésitants, et ta concentration te joue des tours.

• Chaque entraînement ressemble à une lutte, et tes performances stagnent. Parfois, tu te demandes même si tu n’es pas en train de régresser.
  

Tu as tout essayé : ajuster ton programme, surveiller tes macros, augmenter ta récupération active. Mais rien n’y fait.

Ton corps est à bout, et toi aussi.

Et si le vrai coupable n’était ni ton entraînement, ni ta diète, mais bien tes nuits ?

• Ces heures volées au sommeil qui te privent de ton potentiel.
• Ces mauvaises habitudes qui sabotent ton énergie avant même le premier échauffement.
• Ces nuits fragmentées où ton corps n’a jamais le temps de réparer les dégâts.

Ton sommeil est l’arme que tu n’utilises pas encore.

Et tant que tu l’ignores, tu continueras à te battre contre toi-même, une nuit après l’autre.